Qui est Abdullah Al-Osaimi, le milliardaire saoudien qui veut racheter le Wydad ?
L’homme d’affaires et investisseur saoudien Abdullah bin Aouda Al-Osaimi a révélé son souhait et sa volonté de racheter l’équipe du Wydad Casablanca. L’homme d’affaires saoudien a une fortune estimée à un demi-milliard de riyals saoudiens (146,6 millions de dollars).
Dans une déclaration exclusive à « Le Site Info Sport », le milliardaire a souligné qu’il demande à ses proches et ses connaissances de le mettre en contact avec les dirigeants du WAC afin de discuter du projet.
« L’intention est là. Par contre, je n’ai pas encore obtenu le dossier et les informations requises pour cela. J’ai demandé à une connaissance de communiquer l’information aux responsables du Wydad », dit-il.
Al-Osaimi est connu pour son amour pour le sport en Arabie saoudite. Il est aussi l’un des grands supporters et fans de l’équipe saoudienne d’Al-Ittifaq, pour laquelle plusieurs joueurs marocains ont récemment joué.
« Investir dans l’équipe du Wydad présente de nombreux avantages. Premièrement, l’équipe a beaucoup de fans en plus d’un riche palmarès, cela pourrait donc être un investissement rentable. Investir au Maroc peut également avoir un impact significatif sur la communauté locale et l’économie nationale. Il peut créer des emplois, stimuler le tourisme et faciliter le développement d’infrastructures telles que des stades et des installations sportives».
Et d’ajouter : « investir dans une équipe de football performante comme le Wydad peut aussi améliorer l’image et la réputation de l’investisseur aux yeux du public, surtout si cette dernière remporte des titres nationaux et internationaux ».
Il a conclu : « En résumé, investir dans l’équipe du Wydad peut apporter plusieurs avantages économiques et sociaux et affecter la réputation. Cependant, il est important de mener des recherches et des analyses approfondies avant de prendre une décision finale d’investissement».
À côté du WAC, Al-Osaimi étudie également la possibilité d’acquérir une équipe belge dont il préfère garder l’anonymat. À suivre.