Maroc-Espagne: La preuve que le but de la Roja n’est pas valable
Le but d’égalisation de la Roja, refusé par l’arbitre de touche dans un premier temps et validé ensuite par la VAR, n’aurait pas dû être accordé. Et la presse espagnole a eu raison d’écrire à la Une de ce mardi, en gros titres « i viva el VAR » et autres « Gracias ».
La presse française, elle, a un autre son de cloche et écrit que le but espagnol est nul et non avenu. Pour « Le Parisien », par exemple, l’égalisation (2-2), dans les arrêts de jeu, est entachée « d’une erreur d’arbitrage ».
Le quotidien ajoute que la Roja doit sa première place du groupe B grâce à un « relâchement de l’arbitre », dans les dernières secondes de la renconctre. Et ce n’est pas un hors-jeu de lago Aspas, attaquant du Celta Vigo, qui est invoqué pour expliquer cette énième erreur dont le onze marocain fait les frais pendant le Mondial russe. Particulièrement lors de ses deux matchs contre le Portugal, à Moscou le 20 juin, et contre l’Espagne à Kaliningrad, lundi 25 juin.
Ravshan Irmatov, l’arbitre ouzbek de Maroc-Espagne, a accordé un corner à la Roja pour un ballon sorti du côté droit du camp marocain: Et « Le Parisien » précise que le corner a été tiré du côté gauche! Et d’ajouter que les règles de la FIFA stipulent bien que « le ballon doit être positionné dans la surface de coin la plus proche de l’endroit où le ballon a franchi la ligne de but ». Et justement, nos défenseurs se sont positionnés là où il le fallait pendant que le corner espagnol, lui, a été tiré du côté opposé.
La messe est dite! On en veut au Maroc et aux lions de l’atlas du … côté de la FIFA et de son patron Gianni Infantino, cela ne fait plus l’ombre d’aucun doute. Et comme le quotidien parisien n’a pas manqué de le rappeler, nous étions déjà éliminés de la course au deuxième tour dès l’entame du match. Mais il fallait bien trouver une autre parade malhonnête, partiale, en un mot comme en mille IGNOBLE pour barrer encore une fois la route au Maroc. Cette fois-ci pas pour l’empêcher d’organiser une Coupe du monde, c’est déjà fait pour Morocco 2026. Et on aura largement le temps de refaire le même sale coup de la Task Force et du vote électronique au Qatar en 2022, si le Royaume « ose » encore défier les puissants et ce monde et présenter une sixième candidature pour le lointain Mondial 2030. Mais le Maroc « osera » et qui vivra verra!
Non, en Russie, il fallait sévir, à l’aide de la VAR ou de l’arbitrage ou des deux, afin que le onze national, marocain et africain, et ses millions de supporters ne puissent point savourer une victoire méritée et historique contre l’Espagne, championne du monde en 2010, et dont l’équipe nationale est constellée de stars mondiales du Barça, du Real, de l’Atletico…
Larbi Alaoui
PS: voir les tweets ci-dessous qui résument bien la situation.
#ESPMAR source du 2 eme but, deja 6m50 pour le maroc pic.twitter.com/c5DeVPzFxd
— Ghani CHAIB (@hommegalant) June 25, 2018
⚽💥 Débat électrique dans l'After entre Daniel Riolo et Jérôme Rothen sur la question de l'arbitrage vidéo 😡😡
📺 Le débrief de cette soirée folle dans l'After ici ➡ https://t.co/EbQfO4fN9Y #RMCLive #CM2018 #ESPMAR #MAR #IRNPOR pic.twitter.com/jfmDs6gbre
— After Foot RMC (@AfterRMC) June 25, 2018
🇪🇸🇲🇦 #ESPMAR
🚩 L'arbitre avait pourtant désigné l'autre poteau de corner sur le but égalisateur de l'Espagne !
🏆 #beINRUSSIE pic.twitter.com/GzWQzIP45h— beIN SPORTS (@beinsports_FR) June 26, 2018
https://twitter.com/laminfootball/status/1011357299938643968