Licencié par BFM TV, Rachid M’Barki se défend
Rachid M’barki, célèbre journaliste français, d’origine marocaine, a tenu à réitérer son innocence vis-à-vis des accusations portées contre lui, causant son licenciement de son poste de présentateur au sein de la chaîne BFM TV. Licencié pour « faute grave » (sic), celle d’avoir employé l’expression « Sahara marocain »!.
Entendu devant la commission parlementaire relative aux ingérences politiques, Rachid M’Barki a réfuté lesdites accusations, assurant que toutes ces allégations mensongères et ces suppositions ont pour but « la mort symbolique des journalistes ».
De même qu’il a réfuté l’accusation fallacieuse d’avoir reçu de l’argent du Maroc, en contrepartie de la diffusion d’informations sans l’aval de ses responsables directs. « Je suis accusé d’avoir enfreint les règles de déontologie de la profession, à travers la diffusion à l’antenne d’informations dont on n’aurait pas vérifié la véracité et que j’aurais reçu des sommes d’argent pour cela. Toutes ces accusations son mensonges et affabulations », a dit M’Barki devant les membres de la commission précitée.
« Je n’ai pas reçu un sou du Maroc. Le Maroc est un grand pays souverain qui n’a nul besoin de quelqu’un pour défendre ses intérêts. Surtout de la part d’un petit ‘télégraphiste’! », a souligné Rachid M’Barki.
Larbi Alaoui