Le ministère d’Etat chargé des droits de l’Homme et des relations avec le Parlement se dote d’un nouveau portail
Le ministère d’Etat chargé des droits de l’Homme et des relations avec le Parlement s’est doté d’un nouveau portail (www.mcrp.gov.ma), opérationnel dès ce lundi et qui vient combler les lacunes constatées dans l’ancien portail.
Dynamique et inclusif, le nouveau portail a été conçu pour être interactif et accompagner les développements technologiques. Il facilite l’accès et la recherche de l’information, consultable sur les différents supports électroniques (smartphones et tablettes) et permet de partager son contenu sur les réseaux sociaux, indique le ministère dans un communiqué.
Ce portail connaîtra une mise à jour instantanée des données relatives aux relations du gouvernement avec le Parlement, par le biais du système informatique intégré de suivi du travail législatif et de contrôle du gouvernement, élaboré par le ministère, selon la même source.
Il comprend un espace réservé aux informations ayant trait au ministère, notamment les annonces, les nouveautés et les activités du ministre d’Etat, un autre dédié aux relations avec le Parlement et un troisième espace consacré aux relations avec la société civile.
Le nouveau portail se veut aussi une passerelle pour exploiter les données disponibles dans le système informatique de gestion et de suivi de l’action législative et gouvernementale ainsi que l’évaluation des politiques publiques, ce qui donnera, sans nul doute, aux chercheurs, spécialistes, journalistes et au grand public l’accès à l’information relative au domaine des relations avec les deux chambres du Parlement de manière simple, rapide et sécurisée, ajoute-t-on.
Le portail permettra également l’accès à d’autres sites spécialisés du ministère, notamment le portail national de création d’associations (Tacharokia.ma), le portail de partenariat avec la société civile (charaka-association.ma), en plus du site dédié au Prix de la société civile (prix-société-civile.ma).
Cette mesure s’inscrit dans le cadre de la modernisation de la gestion, de la simplification des procédures administratives et du renforcement de la transparence. Il s’agit aussi d’améliorer la qualité des services publics, de garantir le droit des citoyens à l’information et de renforcer la participation citoyenne et la démocratie participative, conclut le communiqué.