Mais à quoi joue Dounia Batma? (VIDEO)
Elle ne cesse de mettre de l’huile sur le feu. A quelques jours de sa deuxième comparution devant le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Marrakech, Dounia Batma semble prendre à la légère la procédure judiciaire engagée à son encontre.
Et c’est via son compte Instagram que la chanteuse continue de régler ses comptes en envoyant des messages subliminaux à ses détracteurs. « J’ai toujours été belle et jusqu’à présent, ma voix n’a jamais eu et n’aura jamais de concurrent », a-t-elle écrit en légende d’une vidéo d’elle, à l’époque où elle participait au télé-crochet Arab Idol.
L’artiste controversée a cependant préféré désactiver les commentaires sur son compte Instagram.
Rappelons que la chanteuse et sa soeur, Ibtissam Batma, ont comparu devant le juge d’instruction lundi 10 février pour leur implication présumée dans l’affaire « Hamza mon bb ». Elles sont invitées à comparaître de nouveau devant le juge le 24 février courant.
Elles sont poursuivies pour “participation à l’accès frauduleux au système de traitement informatique des données et diffusion d’images et de déclarations d’autrui sans son consentement, dans le but de nuire ou de diffamer”. Le juge d’instruction leur avait accordé la liberté provisoire après le dépôt d’une caution qui a finalement été revue à la hausse. Leurs passeports ont également été confisqués et il leur est interdit de quitter le territoire national.
Pour rappel, le tribunal de première instance de Marrakech a condamné, mardi dernier, trois accusés poursuivis dans le cadre de l’affaire dite “Hamza mon Bb” à une peine de 2 ans de prison ferme et à une amende de 10.000 DH chacun.
Il s’agit de la blogueuse Soukaïna Jannah, alias “Glamour” et du journaliste Simo Daher, ainsi que le propriétaire d’une agence de location de voitures. Les trois étaient poursuivies en état d’arrestation dans le cadre de cette affaire.
Le tribunal de première instance de Marrakech a également condamné les trois accusés à verser un dédommagement de l’ordre de 100.000 DH au profit des personnes qui se sont constituées partie civile dans cette affaire, et de 50.000 dh en faveur du dénommé (M.E).
M.S.