Agadir: ils ont un garçon, l’hôpital leur dit que c’est une petite fille malade!
Ce nouveau papa de Guelmim n’en revient toujours pas! Il a raconté dans le moindre détail à Le Site info l’incroyable et étrange aventure que sa femme et lui viennent de vivre et dont ils ne connaissent pas le fin fond de l’histoire. En tout cas, il ne compte pas en démordre jusqu’à ce que l’affaire soit élucidée et que la vérité soit révélée au grand jour. Les faits.
Sa jeune épouse de 21 printemps a mis au monde un bébé, par césarienne, à l’hôpital Hassan II, à Agadir. Une infirmière est venue lui annoncer qu’il s’agit d’un bébé « garçon » mais qu’il ne pourra le voir que dans 24 h, pour des raisons médicales. Ce délai passé, le papa s’est rendu de Guelmim à Agadir voir sa femme et leurs fils. Et là, grande et terrible surprise! Son épouse n’a pas eu un garçon, comme affirmé par l’infirmière, lui assène un médecin, mais une fille!
De surcroît, et pour couronner le tout, le praticien lui apprend que sa fille est atteinte d’un virus et qu’elle doit être gardée à l’hôpital jusqu’à ce qu’elle en guérisse, alors que la jeune maman peut rentrer chez elle. Le désarroi de ce monsieur est facilement imaginable, alors que ce qu’on lui raconte dépasse l’imagination et n’arrive nullement à convaincre les nouveaux parents. C’est pour cela que le papa exige des analyses ADN qui prouveraient, ou pas, que ce bébé de sexe féminin est bel et bien le sien. Ce qui fait davantage douter les parents sur la nouvelle version du médecin sur le sexe du nourrisson, c’est cette persistance à vouloir garder le bébé et de pas autoriser à ses géniteurs de le voir.
Pour en savoir plus sur cette étrange affaire, Le Site info a contacté le directeur de l’hôpital Hassan II d’Agadir, qui nous a promis de nous fournir des éclaircissements concernant ce bébé mâle devenu, du jour au lendemain, une petite fille malade. Toutefois, depuis lundi matin, le responsable demeure injoignable, aux abonnés absents. Aussi étrangement que ce fait inouï et inédit! On attend que Monsieur le directeur nous rappelle.
Larbi Alaoui et Mohamed Assaouar