Première réaction de Saad Lamjarred après sa libération (PHOTO)
Remis en liberté sous contrôle judiciaire mercredi dernier par la Cour d’appel d’Aix-en-Provence, le chanteur marocain Saad Lamjarred vient de réagir à sa libération.
Muni de son compte Instagram, Lamjarred a tenu à adresser un message à ses soutiens. « Merci au bon Dieu, merci à mes fans, aux médias, aux journalistes, artistes, amis, les familles Lamjarred et Regragui, pour votre soutien… Je vous aime tous… Maman et papa, que Dieu vous protège. La vie continue (…) Ça fait du bien d’être de retour », a-t-il écrit, profitant au passage pour annoncer la sortie de son nouveau single « Baddek Eih », prévue le 17 décembre prochain.
Rappelons que les parents du crooner marocain se sont envolés jeudi 6 décembre en France après la décision de la justice de le remettre en liberté sous contrôle judiciaire.
Dans une déclaration à Le Site info, la mère de la star, Nezha Regragui, a assuré qu’elle est actuellement en France mais a refusé de donner plus de détails à ce sujet. «Je ne peux rien vous dire parce que la situation est compliquée», a-t-elle affirmé.
Regragui a tout de même exprimé sa joie après la libération de son fils, soulignant qu’elle s’est rendue en France pour prendre de ses nouvelles.
Pour rappel, Saad Lamjarred a été remis en liberté sous contrôle judiciaire par la Cour d’appel d’Aix-en-Provence. “Il s’agit d’une liberté conditionnelle que mon client a obtenue, je ne peux pas vous donner plus de détails pour le moment”, a affirmé l’avocat Jean-Marc Fédida à Le Site info.
Selon Var-Matin, Lamjarred ne doit pas quitter la France, il doit remettre son passeport marocain à la justice, rester dans sa résidence parisienne et “pointer une fois par semaine” au commissariat le plus proche. Le chanteur ne devra pas se rendre dans la région d’Aix-en-Provence où il est accusé de viol. Il devra enfin répondre aux convocations, et laisser une caution de 75.000 Euros. Des conditions de détentions qui rappellent la fois où il avait obtenu la liberté provisoire dans l’affaire “Laura Prioul” à Paris.
S.L.