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Sahara marocain: nouvelles provocations désespérées du Polisario

Les révélations sur les trente éléments du Polisario, comptant parmi les 257 victimes du crash de l’avion militaire algérien, ne cessent de démentir les premières déclarations, aussi bien des séparatistes que de certains médias et d’officiels d’Alger.

Il s’est avéré par la suite, selon le quotidien Al Massae de ce week-end des 14 et 15 avril, qu’il ne s’agissait point de « malades et de leurs accompagnateurs, hommes, femmes et enfants ».
L’on sait maintenant, avec certitude, que parmi les polisariens tués dans le crash, il y avait le représentant des séparatistes pour l’Amérique latine, ainsi que de hauts responsables du Polisario, entre autres. Ainsi, Mohamed Laghdaf, connu sous le sobriquet de « Bujumbura » et grand sécuritaire polisarien est mort dans le crash. Cheikh Doua Ould Boussif aussi, qui avait occupé plusieurs postes au sein du mouvement des séparatistes, dont celui de responsable de « la Croix rouge » à Alger et à Oran. En plus de ces hauts responsables du Polisario, d’autres éléments parmi les plus connnus des milices du Polisario ont péri dans la catastrophe.
D’autre part, le journal pointe les nouvelles provocations désespérées des séparatistes polisariens. Elles consistent en un plan d’implantation de migrants subsahariens et de réfugiés dans la zone tampon. Ceci, bien entendu, avec le soutien logistique du mentor algérien du Polisario, dans le vain objectif de faire pression sur certaines nations telles que le Royaume-Uni, la France et l’Espagne.
De nouvelles révélations concernent les centres de formation et d’entraînement militaire que l’Algérie réserve aux milices des séparatistes, avant d’acheminer ces derniers, par voie aérienne, aux camps de la honte de Tindouf. Formation et entraînement milliaire des milices du Polisario sous la houlette protectrice et complice de généraux du voisin de l’est, révèle la même source.
Et la présence de 30 polisariens parmi les 257 victimes dans le crash de l’avion militaire algérien est la preuve par neuf de la connivence avérée de l’Algérie dans ce conflit artificiel autour des provinces du sud du Royaume et de l’atteinte flagrante à l’intégrité territoriale nationale.
A rappeler que ledit avion algérien, l’Iliouchine II-76, crashé le 11 avril courant, quelques instants après son décollage de l’aéroport militaire de Boufarik (à 40 km au sud d’Alger) après qu’un incendie a été déclaré à son bord, avait effectué son premier vol en 1994, alors que la mise en service de cette flotte russe date des années 70. Et en ce mois d’avril 2018, ce sont quelque 80 avions II-76 qui ont été impliqués dans de graves accidents aux lourds bilans en pertes humaines. Et ce, dans plusieurs pays tels que l’Iran, le Congo et, à plusieurs reprises, dont celle du 11 courant, l’Algérie.
Larbi Alaoui

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