Le départ de Benslimane marque-t-il un tournant dans la gendarmerie?
Sur instructions du roi Mohammed VI, le presque inamovible Hosni Benslimane a fini par céder la place, à la tête de la gendarmerie royale, au général de division, Mohamed Haramou. Celui-ci, une semaine après sa désignation, a remis à l’ordre du jour les brigades d’honneur de la gendarmerie, chargées de la surveillance des Palais et résidences royaux.
A rappeler, comme le note le quotidien Assabah, qu’une ire royale avait écarté la gendarmerie de cette mission, il y a de cela un an et demi , et l’avait remplacée par des sécuritaires.
Retour aux sources depuis une semaine où on a remarqué des éléments de la gendarmerie en faction, en uniformes réglementaires, à l’entrée et aux alentours des Palais royaux de Rabat-Salé et de Skhirat. Ceci, aux côtés d’éléments de la Garde royale, de la Sûreté nationale , ainsi que d’autres sécuritaires en civil.
L.A