Attijariwafa bank signe la renaissance d’une emblématique façade de Casablanca
Porté par une politique RSE ambitieuse et engagée, le groupe Attijariwafa bank réitère sa volonté de préserver la valeur patrimoniale de bâtiments désormais emblématiques et symboles architecturaux, porteurs d’histoire dans différentes villes du Royaume.
Tutélaire d’un savoir-faire bancaire centenaire et fort d’une passion authentique pour la belle pierre, le groupe Attijariwafa bank est détenteur d’un patrimoine architectural iconique riche, en partie classé ou inscrit à l’inventaire des monuments historiques, témoin de l’extraordinaire aventure architecturale moderne du XXe siècle au Maroc. Des édifices ayant tour à tour vu défiler des personnalités importantes et ont été le siège d’événements historiques et économiques constituant des jalons dans l’histoire architecturale des villes. Aujourd’hui encore, leurs anciennes pierres ne cessent de nous narrer la genèse d’un pays et l’histoire d’un peuple. De génération en génération, de famille en famille, commerçants, industriels, artisans, ont pu créer leur entreprise, la faire fructifier au sein de ces écrins chargés d’histoire.
Au fil des réaménagements entrepris, visant à offrir une meilleure ergonomie à la clientèle et aux collaborateurs, de nombreux sites réhabilités ont ainsi laissé émerger des témoignages précieux sur la riche aventure humaine, sociale et commerciale du groupe Attijariwafa bank.
Le programme mis en œuvre a ciblé une douzaine d’édifices et s’appuie sur la mise en place de règles et principes de préservation dans le cadre de la mise à niveau des sites historiques et de leur structuration, tout en l’adaptant aux usages contemporains.
Ainsi depuis juin 2019, le programme a concerné des bâtiments édifiés entre 1921 et les années 1950, à l’instar du bâtiment Istiqlal à Essaouira (1920), Marrakech Médina (1921), Sidi Slimane Centre (1945), Tanger Rue de Belgique (1948) ou encore Tanger Pasteur (1950).
Aujourd’hui, c’est au tour de la façade de l’emblématique bâtiment Lahrizi à Casablanca de renouer avec sa splendeur d’antan. Empruntant le nom de la rue Driss Lahrizi (ex. Galliéni), le bâtiment, siège de l’ancienne Banque Commerciale du Maroc des années 30 aux années 70, fait partie de la seconde génération des banques du Maroc. Chef-d’œuvre architectural d’une grande sobriété signé Marius Boyer, à proximité de la place administrative et proche de l’emblématique boulevard Mohammed V, il est à ce jour l’un des immeubles les plus singuliers du secteur.
S’agissant de l’intérieur de l’immeuble qui abrite des activités bancaires, sa réhabilitation a également été entamée il y a quelques années, et se poursuit encore aujourd’hui afin de le doter progressivement des aménagements nécessaires qui permettront à ses collaborateurs d’offrir le confort et les conditions nécessaires à la satisfaction de leurs clients.
Après près de 12 mois de travaux de réhabilitation de la façade de ce bâtiment, le groupe Attijariwafa bank ouvre un nouveau chapitre et narre l’histoire d’une adresse des plus prestigieuses de la rue Galliéni. Le frontispice du bâtiment Lahrizi retrouve aujourd’hui sa splendeur et s’affiche plus fier que jamais. L’élégance de sa morphologie particulière à la géométrie complexe, l’histoire de ses pierres, la monumentalité de ses tours de carte postale, les détails harmonieux et soignés de ses façades ou encore la richesse des matières utilisées, autant d’éléments qui ont été magnifiés, flattés et préservés pour affirmer une modernité sans compromis et témoigner avec crédibilité de la mémoire d’un écrin légendaire.