« Si l’Algérie veut la guerre, le Maroc n’en veut pas » (source marocaine)
Le Royaume du Maroc ne cherche ni noise, voire déclaration de guerre, avec son voisin de l’Est, a affirmé une source concordante de haut niveau.
Ceci, en réponse aux allégations mensongères et provocations coutumière des « kabranates » qui dirigent l’Algérie, osant faussement accuser le Royaume du meurtre de trois camionneurs algériens, dans une attaque prétendument menée par les Forces armées royales.
« Si l’Algérie veut la guerre, le Maroc n’en veut pas. Le Maroc ne sera jamais entraîné dans une spirale de violence et de déstabilisation régionale », a tenu à souligner cette source à l’AFP, en s’insurgeant en même sur ces provocations des dirigeants algériens et leurs velléités belliqueuses.
Et d’ajouter que si le pays voisin veut entraîner la région dans une guerre fratricide, à travers ses menaces et provocations, désormais continuelles, presque quotidiennes depuis la rupture unilatérale des relations diplomatiques, le Royaume chérifien ne le suivra pas dans cette dangereuse et gravissime entreprise et voie.
« Si l’Algérie souhaite entraîner la région dans la guerre, à coups de provocations et de menaces, le Maroc ne suivra pas », rapporte l’AFP en citant la source marocaine.
Pendant que les autorités marocaines n’ont émis aucun commentaire à ce sujet, cette source qui a préféré garder l’anonymat a insisté sur le fait qu’aucun ressortissant algérien résidant au Maroc ne sera touché dans son intégrité physique et/ou morale. Et ce, quelles que soient les menaces et velléités perpétrées par le régime militaire qui prévaut en Algérie à l’encontre du Royaume! « Le Maroc n’a jamais ciblé et ne ciblera jamais des citoyens algériens, quelles que soient les circonstances et les provocations », a-t-elle affirmé.
Dans un communiqué, la présidence algérienne avait dénoncé l’assassinat de trois citoyens algériens le 1er novembre lors du bombardement de leurs camions sur la route assurant la liaison entre Nouakchott et Ouargla (sud de l’Algérie), invoquant « un acte de terrorisme d’Etat ».
Larbi Alaoui