Ce n’est pas qu’au Maroc, que des énergumènes ont insulté les victimes de la discothèque Reina d’Istanbul.
Au Liban et à travers les réseaux sociaux, des individus ont attaqué trois victimes de l’attentat, les traitant de toutes les injures possibles, alors qu’ils ont rejoint leur dernière demeure enveloppés d’un simple linceul. Comment qualifier ces pseudo-humains qui se réjouissent du malheur des autres ?
La télévision libanaise n’y va pas par quatre chemins pour dénoncer les propos abjects de ces individus sans scrupule. « Le bonheur est-il un crime qui doit être puni? » se demande la jeune femme.
T.J.