FGD dépasse quelques querelles passagères
L’avenir de la FGD dépend de son unité. Les responsables de cette coalition l’ont bien compris.
Juste après les élections législatives du 7 octobre, un problème a surgi au sein de la FGD. Il s’agissait de dissensions et de querelles intestines au sein de cette coalition de trois partis, essentiellement relatives à l’évaluation électorale et politique de la FGD, laquelle avait donné lieu à des divergences entre ses composantes, notamment du côté du Congrès national ittihadi, conduit par Abdeslam El Aziz. Il avait reproché à ses partenaires, surtout au PSU de Nabila Mounib, d’avait trop tiré le drap de leur côté et de tenter de s’accaparer les bénéfices politiques de la campagne. Il avait, par conséquent, décidé de geler sa participation à la commission exécutive de la FGD.
Finalement, la raison a prévalu et le différend a été aplani pour la bonne cause de la gauche.
T. J.
T.J